Outre les salaires, le sujet des vacances est probablement celui qui revient le plus souvent lorsqu’on compare nos conditions de travail avec celles du marché de l’emploi actuel.
Augmenter le nombre de semaines de vacances offertes, reconnaître l’expérience pré-STM pour déterminer le nombre de semaines auxquels un employé a droit font partie des idées évoquées.
La STM n’a toutefois pas démontré d’ouverture à négocier ce genre d’amélioration avant les prochaines négos.
Nous avons toutefois répondu présents lorsqu’ils nous ont fait la proposition suivante. Un employé qui démissionne de la STM, mais qui décide finalement de revenir à la STM dans un délai maximal de 1 an, ne tomberait pas à zéro au niveau du calcul du nombre de semaines de vacances auxquels il a droit. Si cet employé avait 5 ans d’ancienneté lorsqu’il a quitté (et avait donc droit à 4 semaines de vacances par année), il revient avec une reconnaissance de ces 5 ans d’ancienneté.
Cette reconnaissance ne vaut que pour déterminer le nombre de semaines de vacances auxquels il a droit. Pour tout le reste, son ancienneté retombe à zéro.
Une lettre d’entente a donc été signée à cette fin. C’est un petit pas assez timide, mais c’est un signe que les vacances seront certainement un sujet de négo en 2025!
SEPB 610